Page:La Fontaine - Œuvres complètes - Tome 3.djvu/363

Cette page n’a pas encore été corrigée

On nous assem : a (0 qu’elle dansolt bien et ie n’eus pas de peine le croke ce qui m’en plut davantarut le ton de voix e les eux son humeur aussi me sembla douce. Du reste, ne m’en demandez rlen de particulier, car pourparler fi’anchement je l’entretins peu, et de choses indifferentes, bien resolu, si nous eussions fait un plus 1ongsejour/ Chastelleraut, de la tournet de tant de costez que j’aurois dcouvert ce q.u’elle a dans [’ame, et si elle est capable d’une passton secrete : je ne vous en s{ ; aurois apprendre(2)autre chose, sinon qu’elle ayme fort [es romans ; c’est fi vous, qui les aymez fort aussi, de juger quelle consequence on en peut.tirer. Outre cette parerite de Chastelleraut, je dois avoir fi Poitiers un cousin getmain, dont e n’ay point memoire qu’on m’ayt rien dit : je m’en sourlens seulement parce qu’il m’a plaid autrefois. Poitiers est ce qu’on appelle proprement une viilace, q. ui tant en maisons que terres labourables, peut avoir cleux ou trois lieties de circuit : ville real pa.ve, iPleine d’coliers, abortdante en prestres et en moines. 1 y aen recompense hombre de belles, et l’on y fait [’amour aussi volontiers qu’en lieu de la terre ; c’est de la comtesse que je le s{ ; ais (3). l’eus quelque regret de n’y poifit passer ; vous en pourriez aysment derinet la cause. Ce n’ est ny la pierre ! evde, Nile tocher passe loutdin ; Pour vous en dire ma pens&, Je les ay laissez sans chagrin Et quant 2t cet autre cousin, .,lion ame en est fort consolde, Mais i’e voudroii bien avoir veu La Landru. t. Premiere rdaction : dit. a. Premiere rdaction : dim. 3. roy. ci-dessus, p. 56 et 534.