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'LETTRES. 349 ment l’artifice mals la patience de I’ouvrier. De quelque faon clue l’on considre son entreprise.elle ne peut estre que singulire, Et dans l’art de niveler, L’auteur de ce saint Hierosme Devoir sans dout exceller Sur tousles gens du royaurae. Ce n’est pas que ]e sqache son pays pour en parlet . franchement, n roesroe son nom ; — mais il eskbon de dire que c’est un Francois, afin de faire paroistre cette merveille d’autant plus grande. Je voudrois, ’pour cornhie de nivelerie ; qu’u-n autre entreprist de conter les pices qui la composehr. Mais ne passeray-’e point moy-mesme pour un nivelier de tant m’arrester b. ce St Hierosme ( ; 0 ? I1 faut le hisser ; aussi bien dois- e rserver roes 1ouangespo.ur cette fameuse table dont vous devez voir entendu parler, et qui fait le principal ornement de Richelieu. On l’a raise dans le salon, c’est -dire u boat de la galetie, le salon n’en estant s6par que par une arcade. I1 me semble que i’aurois blen fait dhnvoquer les muses pour parler d cette table assez dignement. Elle est de ?! eces de rapport, Et chaque ptece est un trsor ; Car ce)onitoutes ? ierres fines, Agates, jaspe et cornalines, Pt’erres de ? rix. vierres de nora, Pierres d’ &lat }t’ de renom ; Voilg bien de la ? ierrerie. Considdrez que de ma ie . premiere ’rdaction : Mais ’]e passerois moy-mesme pour un hivelief si je m’are ; toi davantage t ce St Hierosme.