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302 LE-TT RES. crit ce n’est pas ma faute ; je t’en-dirai une autre lois la raisons et ie net’entretlendrai pour ce coup-ci 0) _clue de ce qul regarde M. le-ur-Intendant ; non que ie re’engage t’envoyer des Relations de tout ce qui lui arrivera de remarquable ; I’entreprlse seroit trop grande, et en ce cas-I ie le supplieois trs-humblment de se. donner quelquefols la peine de faire des choses qui ne m&itassent point que l’on en parlit, afin quei’eusse le Ioisir de me reposer. Mais’je croi (=) quill y seroit aussi empch que ie lui suis i present (3). On droit que la RenominCe n’est faite que pour lui seul, tant51 lui donne d’affalres tout i la fois. Bien. eft prend t cette Dtesse de ce qu’elle est ne avec cent bouches encore n’en a-t-elle pas la moiti de ce qu’il faudroit pour cilbrer digneSment un si grand Hros ; ’etje croi que quand elleen auroit mille s il trouveroit de quoi/es occuper toutes. Je ne te confetal donc que ce qui s’est pass. Vaux le 7 de ce tools. Le Roi, la Reind Mre, Monsieur, Madam quantit de Princes et de Seigneurs, s’y trouverent : il y eut un souper magnitklue, une excellente Com die un Balt fort divertisiant et un feu qui ne devoit rieni celui qu’on fit pour I’Entre. . Tous Its sensfurtni tnchanttz ; Et It rlgal rut des btauttz Dignes du litu, dignes du Matrt, Ef dignes de leurs Mafest,, i qutlqu’e ehose pouroit I ltrt. On commena par la promenade. Toute la Cour regarda les eaux avec grand plaisir..lamais Vaux ne sra plus beau qu’il le fut cettesoir&-13,’ si la presence de la Reine nelui donne encore Un lustre qu veritaI. rar. Pour aujourd’hui. 2. gar. Je pense. 3. Var. Acette he ue.