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00 LITTRI. Je me croyois sorry d’ une haute eatreprise, Et mon cidant me smbloit ne pouvoir mieux flair : Anne, par ses bontez dont mort ame est dprtse, S’ est encor presentde, mon ressouvenir. Nostre Dauphin en doit tenir Ls rodroes don-s ; mais d’une autre maniere : La sagesse aux conseils, ! ’esprit plein de lumiere, ’ Lafermetd que l’on trouve aux Heros gtla constance dans ! es maux ; . (Mais quoy, de l’exercer il n’est plus de matiere.) Vous dlpeindre Anne ( ) route entiere C estpour ma Muse an tro ? hardy projet : Si vous regardez mort sijet, Q_ue diray-je d’assez sublime ? Que ne diray-fe point si h suis mon doir ! ’ Dieux ! qu’ on est empeschl quarid il faut qu’ on exprime te qu on ne sfaurot conce,otr. Dis ensez-moy de eette eme ; P. P. Vous sfavez, Monsagneur, quelle st Anne et Loais. Vous voyez tous ! es jours nostre nouvelle Reine : i vos yeux n’ en sont tbloais, Je les tiens boas ; ils le soar, et personne N’en a doutljusques icy : ’ Puissent-ils dans vingt an,s, veillet pour la Couronne l de ne vous.plaindray pas d avoir un tel soucy. Voila, Monseigneur, ce que je pease sur ce suiet. J’ay corrig les derniers Vers clue vous avez leus, et quiont eu l’honneur de vous plaire ; j’espere que vous les trouverez en meilleur estat qu’ils n’es’toient. Entre autres fautes, j’y avois mis un deux pour un trois, ce qui est la plus grande rverie dont un nourrisson du Parnasse se pllt avi’ser. La b6veua ne vientque de 1 ; car je prens -trop d’interest en tout ce qu] regard vostre.famill pour ne pas savoir de cdmbier/d’amours et de graces elle est compos6e(aJ. Je me ’etrac. Anne d’Atitfiche. 2. tt II s’ait probablemeat, tilt. M. Walckenar, de’ quel-