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II n’est pas jusqu’ Rocollet O,_ui he.fuse sur sa bonne mint : Son Cheval qui n’toit pas laid, Et sernbloit.de taitle ass ez tint Lui seco1oit un pen l’dchin Et pensa rnettre en desafro . Ce brave servtteur du Roy. Si je mn’ttois trouvt plus pros Des harangueurs et des harangues ( ), Vous auriez en vers quelques traits De ce qu’ ont die ces doctes langues. Sans mentit j’ay beaucoup perdn De n’en avoir rien entendu Car en fait de rnagnificence L,es cornplirnens sur les habits L one ernporti cormrne je pense (4) ; Mais tout cela n’est rien au prix Des Mulets de son Erninenci. Leur attirail doit avoir cotd chef ; Ils st suioient en file ainsi que Patenotres, On en voyoit d’abor- d vingt et quatre rnarcher, Puis antres ingt et quatre, etpuis vingt et quatre autres. Les housses des premiers leolent d’un fort giand tn’ix ( ) ; Les seconds les pussoicnt, passez par les trOisifirnes : ]. gat. Lent. z. De Sve, pr6v6t des marchands. 3.. Vat. Des barunguents et des harangues. i je m’tois trouv6 plus 4. girt. Lents sages propos, lents beaux d[ts, Ce jour-l& sur les beaux hbits L’emportrent comme je pense,. 5. vat. asae grand : pt ; va.