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ne-puviez tooins que de m’en faire.la : r6primande’ ; la mritois bien par le respect que fal pour vous, et par I’affection que vous m’avez toujours tesmoign6e. ’espre qu’une autre lois vous vous mettrez plus fort en cho ere, et que, s’il m’arrive deperdre non argent, vous n’en rirez point. Mademoiselle de La Fontaine. ne seait nullement bon gr6 ce donneur de faux avis tli est aussi mauvais politic[ue qu’int6ress&. Nostre parati0n peut avoir fait quelque I)ruit &La Fert6(t), mais elle n’en a pas fait beaucoup . Chafiry et personhe n’a creu que cela lust n6cessaire.’ J’at fait une soremarion pour recevoir l’annuet, rtmis je n’ay point consign6 ; mandez-moi s’il est en.cote’ tern s ( : La commission dont ’e vous ay escnt, p )-. . . est une excellente affaire pour le proAt, et ] ne suls pas_assez ambitieux pour ne courir qu’apr6s les hon-’ neurs ; cluand l’.un et l’autre se rencontreront ensemble- ’e ne les re etteray pas : cevendant, dez que M.’lqJacquart fera’un tour ; Ghaste’au-Thierry, ie’lui feray la proposition, saul de m’en rapporter vous touchant le choix. J’esl6re qu’auiourd’hui votre 6change avec Madame de l’H'6tel-t)ieu ’ser bien avanc6 ; je suis sur le poita d’enfaire encore un. M. de La Place me doit un surcens de trois setlets et mine de b]6, et deux setiers d’avoine ; le surcens est assis sur dix arpents de terre clui sont la porte d’une de ses refines. II me veut donner en 6change dix autres arpents, enferms dans vos terres de la Trueterle. J e trouve l a chose & propos ; mais il faut qu’elle se fasse sous votre nora, et aupa-. . Dans lacte de vente de la maison qu’ils poss6doient Chteau-Thierry en date du 2 janvier t676,La Fontaine et sa femme figurent comme s&par&s quant aux biens. (Voy. l’Histoire de la ie et des ourrages de La gontaine, par C. A. W.arzs^zt, 5e 6dit., 1824, in-8, p. 6 et 9o.) z. . Monmerqu6 avoit supprim6 quelqdes d&ails relatifs aux affaires de M. Jannart et notamment les deux pierasea {tui pric&dent ; M. walckena& les a r6tablies.