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. .LETTRES. 28 ! principal, je lui donnerai volontiers oo’fr. II sera tout heureux de les prendre : car if aura de la peine assez se faire payer ; et ma belle-re&re m’a dk qu’il. ne lui en toit pas rant dfi lgitimement. Jai compt depuis peu avec M. Bel[enger de quelqu.e.s.’ de)tes de ma belle-re&re ; mais ie n’ai pas q,1 so,t de la benseance de lu parler de 2’ cus a’argent dont i’ai compt avec vous, et que vous me bailfAtes pour les affaires de M. de Bressay. J’en donnai4M. Vabei, et en rendisS M de Bressa Ans cest A tool qu on les dot : vous leur en ferez s’il vous platt, souvenir ; autrementie ieperdrois. Ce nest pas que le les red,.’mande c est seulement afin que la ragmoire n’en soit pas abolie : je ne sais si c. est au beau-pere ou au gendre d acqmttercela. Les (cus d’argent valoient lots 2 sous. Si je n’avois peur de donner atteinte la neutralit& fque vous avez,promise, ie vons crirois un mot en aveur de M. ae La Haye, quand ce ne seroitque pour apprendre A Messieurs du prsidial ce que"c’est (] Alea lu&aorm ; et que M. [e heutenant qu veut faire passer ses raisons our des dmonstrafions mathma.’tique n’est pas du’tout si- savant qu’Arcbm&de. Je sins son serviteur ; nais i’inciine. pour 1 v6t auss bien que tousles bonnte gens de Cbafiry. LZVTZ III. AU M I M E-- (0. A Chairy, ce  ; janvier 6f8. MONSIEUR MON ONCLE Je vous envoie le papier que M. de Bressay m’a . L’0riginal a figure, sous le no 37z, dans le catalogue de ! a vente de M. Renonard qni a eu lieu au mois de juin