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"LETT. KES LE ??R. I (9. A MONSIEUR IEANNART (2 i ubstitut de Monsieur le Procureur gn&al., , quay des August.ins A Rheims, ce hndy 14 fvrier 166. MONEUR’MON ONCLE .. ai enfin vendu ma ferme de Damar, moyennant,’, ’4- liv., a mon beau-frare ; c’esta-dire qu’il a fait eschange avec mov de son bien de Chastillon, qu51 a promis ’par un . Les lettres I, Vet VII, ont d’abord pain kn 8o, la suite des Mmires de Coulange, p. 497-o4’, et dans an rage & part portant le titre d’Opuscule inMits de La Fontaine p. 49-6. Nous avons suivi cette Mition, donne parM. Monmerqu : elle reproduit l’orthographe des lettres originales. ( : es lettres appartenolent.h M. Hricart de Thury, descendant d’H&icart beau-frre de La Fontnine. (V. t. XV p.89, de l’dit. in- 18 des OXure de La Eontaine ; Paris 182 o.) I1 en &oit sans doute ainsi des lettres It IV et Vl, publies pour "la prerni&e fois en.822, par M. Walckenar, qui n’en fait point connotre l’origine ; nous avons, du tooins, la ertirude que la Ille appartenoit t la mme collection. (Voyez ciapris ! a note, p. .) C’est probablement t ces quatre.lettres que M. Monmerqu fait allusion lorsqu’il dit qu’il en a eu sous lea yeux plusieurs qu’il ne publie pas, parce qu’elles n’offrent aucun int&it. Elles ne pr6sentenf, il est vrai, aucun int6rit litt6rake,mais elles ne sont.pas du tooins.sans importance pour la biographie de notre po[te. . 2. Mwalckenar fait remarquer que La Fontaloe n’dcrit