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24 P1CHI. L ’ e oft im etuetix dont il va s’tlan ant l ? atStateP le lambris au cristal 7allissant. Telle et tooins violente est la bale enfidmle. L’onde, malgrl son oids, dans le 1omb renfermle, Sort avec un fracas qui marque son dipit, Etplaist aux coutans vlus il les tourdit. Mfll jets, dont la l ;,fe Fentour se partage, Molillent egalement l’mrudent et l Sage. Craindre ou ne craindre vas chacun est gal : Chacun se trouve en but[ au liquide cristal7 Plus les fets.sont cnfus, plus leur beaut se montre. Se romgt, se grecite a tmers les rochers, Et fait, cornroe alambiqs, dtiller leurs glanchers Niches, enfoncemens, rien ne sea de refuge. Ma Muse est impuissante peindre ce deluge. and d’une rox de fer.je aperois les Cix, Je ne pourrois nombrer les charmes de ces lieux. Les quatre amis ne voulurent point estre moiiillez ; ils prierent celuy qui leur faisoit voir la Grote de reserver ce plaisir pour le Bourgeois ou pour l’Al[eman, et de les placer en quelque coin off ils fussent /t convert de l’eau. Ils furent traitez cornroe ils souhaitoient. &,and leur Conducteur les cut quittez, ils s’assirent entour de Poliphile, qui prit son cahier ; et, ayant touss6 pour se nettoyer la voix il commena par ces Ver : . Le Dieuqu’ on noraroe Amour n’ est pas exempt d’ aymer : A son flambeau quelqaesfois il se brusle ; Et si ses traits ont eu la foree d’ entamer Les cœurs de Pluton et d’Hercule II n’ est pas inconvenient Q._u’estart aveugle, tourdi temeraire . Ces quatre demiers vets se retrouvent dans le ong de gaux.