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V.os, 247 .COMPARAI SON D)ALEXAN D.RE A M GLE PRINCE DE CONTY (1).

an.S une indisposlti. on.qui me re. dent., i’au rois estl . Chantdill pour m’acqultter de 

[ ; )11 mes. tr&s : humbles devoirs envers V6tre k’tesse Serenissime. Ce que je puis fillre l : r[s-ei de chercher dans les Ouwades Anciens .et parmi les nates quelque Chose qul Vous puisse ’pinire ; et. qui roerite d’entrer dans les ontestati0ns de Monsieurle Prince. Elles sont fort vives, it font honeur. aux suiets qu’el ! es veu[ent bien agite r. II n’ignore den non plus que vous. II aime xtramement In’dispute, et n’a ismsis taut d’esprit que quand ila tort. —Autrefois la Fortune ne I’auroit pas be.n servi si elle ne lui avoit opposl.des ennemis en hombre superieur et des difficults presque insurmontables. Aujourd’hui . Louis II de’ Bourbon-Condt surnommi le grand Condi. z. Louis-^rmand prince’ de Conti, neveu du grand Condt. Cet ’ourrage a l ! tt publii d’abord,dans les Olruvre’ postnines, p.’ , et ensuite dans les OEures dierses, pu’bli6es en 729 ; t. il ; p. 62. Dans cette demire 6ditioa &i lit apres le titre la date de 684, et la pi&ce est tangle parmi les lemes et commence par le mot I]OblSEIGIIEUR