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Fleurs que les vents n’ont pu ternir
Aminte en blancheur vous égale ;
Et vous m’en faites souvenir.

Orangers, arbres que j’adore,
Que vos parfums me semblent doux !
Est-il dans l’empire de Flore
Rien d’agreable comme vous ?

Vos fruits aux écorces solides
Sont un veritable tresor,
Et le jardin des Hesperides
N’avoit point d’autres pommes d’or.

Lorsque vostre Automne s’avance,
On void encor vostre Printemps ;
L’espoir avec la jouyssance
Logent chez vous en mesme temps.

Vos fleurs ont embaumé tout l’air que je respire :
Toujours un aymable Zephyre.
Autour de vous se va jouant.
Vous estes nains ; mais tel arbre géant,
Qui declare au soleil la guerre,
Ne vous vaut pas,
Bien qu’il couvre un arpent de terre
Avec ses bras.

La necessité de manger fit sortir nos gens de ce lieu si delicieux. Tout eur disn se passa i s’entretenit des chos’es qu’ils aient veui ! s, et parlet du narque pour qui on a assembl rant de beaux obiets. ,Apres avmr.lofi ses pr. incipales vertus, les lumi’eres e son espn Uses.q. ualitez heroYques la science de .c. ommander ; aprs ds-je, l’avoir 1oii fort 1ong4emps ls revinrent t leur premier entre{ien et dirent que p. it.er seul peu. t continuelfement s’aool/nuo i la con, (lu ? e,de l’.Un,vers : .le.s hommes onteoi-de queloue relascne. Alexandre Imsoit la dfibauche ; Auguste loiioit