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LE 50NOE pus ecore eillez ie cr’s qu’il tok’de par ctt chanson ; Fontulnas, jillsez Hrb tndr croissez Le long de.ees r ? ages Venez, pats oseaux Aceorder os ramages A dox bruit de leurs Vous vous levez fro F tard ; L’Auror est sur son char Et s’ en vient voir ma Bdl. Oiseaux, chantez Four moil Le Dieu d’ amotr m’aFelle, Je ne sais Fas Fourquot. Tands que ie faisois r6sonner ansl les 6chos, le Soleil s’approchoit tr6ssensiblement de notre Hemisph6re, et me d6couvroit, les unes aptos les autres, toutes les beautez du canton o roes pas s’6toient adressez. Dans la plus large deces al16es, i’apperois de loin une Nymphe (ce me sembloit) couch6e sous un arbre en la posture d’une personne qui dort. J’6tois tellemen ! accotum6 A la vfi des Divinitez, que, sans m’effraver en aucune sorte de la rencontre de celle-ci, ie reso]us de m’approcher d’etle ; mais h. la premi6re t6marche,,un bdt : ement de cceur me pr6sagea quelque chose d extraordinaire. Je ne sai quelle 6motion dont ie ne pouvois derinet la ’cause, me courut par toutes les veines : et quarid ie fus assez pros de ce rare ob et pour le reconnoitre, e trouva que c eto Amynt, sr qui le Sommeil-aOit r6pandu le plus doux charme de ses ? avots. Certes, mon 6tonnement ne fur pus petit ; mas ma ]oye fur encore plus grande. Cette belle Nymphe 6toit.couch6e ’sur des plantes de