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LIVRE PRENIIER, 17 d Poliphile,y estoit le plus sujet (c’est le nora que[e onneray & [un de ces quatre amis).’ Les avantures de Psich lui avoient sembl6 fort propres pour estre contbes agreablement. It y travailla long-temps sans en — parley : /t personne ; enfin il communiqua son dessein & se.s t.rois amis, non pas pour leur &mander s’il cont ! — narot, mais comment ils trouvoient. prot)os ou il contimiast. L’un luy donna un avis, l’autre u’n aure : ld, e tout cela il ne prit que ce qu’il luy plfit. Oand ourrage Iut achev6, il demanda iour et rendez-vous pour le life. Acante ne manqua pa, selon sa cousume, de proposer une promenade en quelque lieu, bors la ville, qui lust logn6 2 et oh peu de gens entrassent : on ne les viendroit point interrompre ; ils &outeroient cette lecture avec moins de bruit et plus de phisir. I1 aimolt extremement les iardins, les fleurs, les ombra. es. Poliphile luy ressembloit en cela : mais on peut .aire que celuy-cy aimolt toutes, choses. Ces passions, qui leur-remplissoient le cteur dune certaine tendresse. se.rb.pan, doient jusqu’en leurs &tits, et en formoient If nncpai caractere. Ils pancholent tous deux vets le yrique, avec cette difffirence qu’Acante avoit quelque chose de plus touchant,, Poliphile de plus fleury. Des deux autres an/is, quej appelleray Ariste et Gelaste le premier estoit serieux sans estre incommode : l’autre estoit fort guay. ’ ' ,_.L,a prop. os ! tion,d’Acante rut approuve. Ariste .u n y avot de nouveaux embelllsemetis & Versailles : ? .fa. loi ! les aller voit, et parfir marin, afin d’avoir te ? sr ae se promener aprls qu’ils auroient entendu’ les avantures de Psich& La partie fur incontinent conclu : ds le lendemain ils l’executerent. Les jours esquelle Glaste dfend le genre comique, / la fin de ce premier livre, nous porte fi voit en lui Molire, Ie caractbre que La Fontaine lui prate et le nora qu’il lui donne ne sont nul-. lement en rapport avec ce que nous savons sur lui. La Fontaine. Ill. 2