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. L- SoN s s. VAtX. Je tranporte les yeux aux confins de la terre : ’ II n’est benement ny d’amour, ny de guerre, Q_ue mon art n’ait enfin appris tousles yeux. Les mysteres ro ond des enfers et des Cieux 5out par moy revelez, par moy l ted les decouvre : Qae la porte du ]our se ferme ou tu’eIle s’ ouvre. Ode le Soled nous autte, ou auql wenne nous vor. Q.u d forme un beau matra, qu [ous montre un beau sor fen sfa re resenter les ima es brillantes Y,P g Mort art s trend sur tout ; c’est par roes mains saantes O._ue les ch,amps, les deserts, les bois et les citez, Vont en ’d nutres elimats taIer leur beautez. ’ Je fais qu ’avec plaisir on peut voit des naufrages, Et les malheur de Troye ont phi dans meOhvrages : Touty tit, touty charme ; on y voit sans horreur Le die deses oir la san lante ureur, ,.p. p L mhumame Cloton qm marche sur leurs traces ; Jugez avec uels traits ’e sfa eindre les Graces q, ] YP Dans les maux de I absence on cherche mort secours Je console un Areant priv de ses areoars ; Chacun par mon tooyen possede sa Crudle Si vou avez ]am’ais adod quelque Belle (Et ]e n’ en doute point les-sages out aiml), Vous savez ce que peut un po ? trait animt : Dans les cceurs les plus froids il entretient des fldmes. Je pourrois vous prier par celuy de vos Dames ; En- faveur de ses t-raits’ qui n’obtiendroit le prix ? qued qu’il estolt temps d’oster le linceul, pour voit queIle piece Parasius avoit app. ort&. taais cognoissant par-apres que ce n’estoit que pemture, et se trouvant confus, usa neantmoins d’une grande honnestet ceder le pris Paraslus, disant qu’il avoit bien eu le tooyen de tromper les oyseaux, mais que Parasius avoit fait d’avantage de l’avoir tromp/ luy roesroe, qui s’estimoit consomm6 en l’art de peinture. )) (L’Histoire du Monde, de C. Prm traduction d’ArT. vu Pi ? . Lyon. Senneton, 1j62, in-fol. liv. XXXV oh. io t. 2, p. 64.).