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out cda ais nfin, on s’u pae, t ie su’il Ce fur te seul’ besbin qui d’bbo/d.’m : tplaie’ ’ /L ates s.’tuoint.ds hmains7haitez ; ’ Je cbntent hcuu DU inq. Odrs’ divs.’l graci sinzuliere Je ne doute.donc point.qu’en prene d’Oronte Je n’obtine : le pri, os nem rtiez la’honte : Courses’, Sic est honte’.pour rous.d est oindr que m Taut d’ uvres, donl ie’ rends Coloses, on.umen cirque. amphitheares Mille Tmpear’ moy bais en metle tieux, ’ ' Les demur5 deso cells. mme s Dieux ; . Roe et toat l.’Uniyers ’pour,mou’.ari solliae. Jugs, Car on’ n’ahoit Si de. Peu de temps apres ’q ? etle eut 6ss ’de parhr, elh retoana s’asseoir. Sa fi’ea et ie rci6re de sa.Harangue n ? avoient pas’ dplu ; i e le remk’rquay’ Su visage es assistaris : Les seuleS s tmoienoint beauoup d’iadignati’on,.e zecoO’bi’enf la tee &acune e ses raisons ; ie vis mese’l'heure qh’Avellanif4 I’interromroit. Pour moy, ce qui me toufia’le plus de tout soh’discou’rs . ce fur I’piloe. Appellanir’ qui devOit aler’la econde "nt la lace ae’l'au v nmt ue quitter, et pas elle commena amsi sa Harau. juges, sifa), Ouffert des