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Ma-ii onrquoj les Coris a’ux

,’" ’ ue pour maintenir ton commerce ? . J entends renocerement : sur son propre alesir ,. el ue rt ueur ue ln xerce ….. Eeore prend-on du flair. Voluptd, Voaptt, qui fus ]adis matresse’ ’ Du plus bel esprit dt la Grec e me datgnepas ten-t’en loger chez moy, ’ :,.. Tn : n seras pas sans employ ; ’ Jy’ Jeu, l’Amou G res Livres, la Mufque, La Ville et la Campagne enfin tout ; il nest rien : Jusqu’au sombre plaisir d’un ceur melancolique. y Vien donc ; etde ce bien, douce Volugtd ’ . Veux-tu ? iaoir au vray [a roesure ceaaine ? ’.

II m’en faut tbut au morns an siecle bien comptl ;

’ ’Car irerite aris, ce n’ea pas lapeine. ’.polipile’cessa de life.-II n’avoit pas crfi pouvoir mmux hmr que p l’hymne de la volupt6, dont le de sein ne d&plfit p tout.j hit & ses trois amis.

Ap ? " ’udl ’ue counes reflexions sur les rmct aux

.,q, p ’.p endtrots I ourrage : Ne voyez-vous pas, dit Ariste, que ce qui vous a donn le plus de plaisir ce sont les endroits compassion Ce que ou’s dites est fo vray repartit Acante ; maisie vous prie de considerer ce is de lin, ce couleur d’Aurore, cet orang, et surtout ce vourprqui environnent le Roy des Astres. En effet, rivavoit &s long-temps que le soir ne s’etoit ouv& d’beau. Le Soleil avoit pris son.char le plus ficlatant.et ses habits les plus magnifiques.’ -, l semblolt qu tl sefust vart . Pour p’laire aux rilles dNede ; Dans un naage bigarrl