L.’zv }t t sgcoo. qui clonnast ]e sel ces choses. Myrtis au contraire excelloit en e poinct-l&. Elle n’avmt p.a.s une b.e.ut& si parfalte que Megano, roesroe un mediocre crmque
auroit trouv matiere de s’exercer..En recompense,
iI n’y avolt si petit endroit sur elle qui n’eust sa Venus, et platost d’eux qu’_une, outre celle qm smmo !,t tbut le corps en general. Aussi le Roy ta prelera-t-n
Megano, et voulut qu’on la nommast Aphrodis&.e,
rant & cause de ce charme que parce que le nom de ’Myrtis sentoit sa Bergere, ou sa Nymphe an.plus, et ne sonnoit pus asez pour une Reyne. Les gens de sa Cour, afin de plaire leur Prince, appellerent Megano Anaphrodite. Elleen conceut un {el dplaisir qu’elle mourut pen de temps apres. Le Roy la fit enterrer ho=orablement. Aphrodise yescut fort long-temps et to(iou.rs heureuse,. possedant le cœur de son mary tout enter ; on luy en offrit beaucoup d’autres qu’elle refusa. Cornroe les Graces estoient cause de son bonheur, elle se.crt ,oblige quelque reconnoissance envers leur Desse, et persnada a son mary de luy faire basfir un Temple, disant que destoit un vœu qu’elle avpit fait. Philocharez approuva la chose ; i ! y consuma tout —ce qu’il avoit de tichesse ; puis s. es suiets ’ y.contrihuerent La devotion fur si grande, que les Iemmes consenUrent que 1 on vendst curs coil ers, et, nen ayant ptus,.elles suivlrent l’exemple de Myrtis eut la satisfaction de vmr avant que de moufir le parachevement de son voeu. Elle ordofina par son testament qu’on luy bastist un. tombeau le plus pros du Temple qu’il se pourroit, bors du parvis routelois, joignant le chemm le plus frequent& Lf ses cendres seroint.enferm&s ; et son. avanture &rite. I’endroit le plus en.v.eu& : . Philocharez, au luy survescut executa cette voiont& II fit lev[r t son pouse un Maasolde dign. e d’elle et de luy aussi, car son cœur y dex ; oit temr
