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LI VRlg’ g EC’ONI. Coup : ’ ce’cheveux, et ’prnez.mi sgc’i ie vous en feray donner un : vous laissarez icy cet,aci : oustrament, ’Psich ’,la :: remerci’a. Puisque vo’us v0ulez, aiouta ]a falseuse de remonstrances-’.suivre toai’ours ’.vostre fantaisle, ie vous abandonne et vous laisse aller oh il vous plaira. ’Quant aux-propositions de l’Amou G nous farone-ca qu il sara t pr’opos de fairi.-L dessus ella se tourna vers ses’ geni’e't : [aissa Psich qui ne s’en oucioir pas trop et qui voyoit bien qua sc ; n aisne avolt’m6rd’u" q’hame(5on} car t,’peine telreit-ella terr n’en pouvant’ptus qu’alle, ne lust. seule pour donner. un libre cours & sajoye., -,.. ’. Psich, de ce roesroe pas, s’en alia’flairs//t son tre sceur la roesroe ambasade. Cette sceu.r cy n’avo’il plus d’poux. il estoit all en l’autre monde/t grandes iournes’et ar’un chemin. lus court ue celu ue I. P P. q. q. tlennent les gens du commun : les mececlns ’e luy avoient enseign& Q_uoy qu’il ’n'y eust pas pins d’un mois q’ell ’estoit ’eu-il y paroiss.oifdes-’ia : c’est

dire que sa’personne estolt en mei ! .leir estat ;

estre l’entendiez-wous d ? utre sore. i. bien que cette pulsne estant. de deux ’ans plus juie p.l. us-nouvelle marine ; et molns de lois mere.que l ? autre,-le r&ablis’sement de ses charmes n’estolt pas une affaire de si Iongue fialeine : die pouvoit bien plustost et plus hardiment’ se presenter . l’Amour. ’ L’autre avoit.des reparations /t faire,’de tousles costez. Le bain y fut employi les chimistes les atourneuses. Cela estonna le Roy son mary.’ La galanterie croissoit’ 5. veu//d’ceil le-s galants ne paroissoientpoiht. II n’y avo[t ’ny ingredient, n) eau, ny essence qu’on n’prouvast reals tout cela n’estoit que plastrer la.chose : Les charmes de la pauvre femme estolent trop avant dans les chroniques du temps pass ’pour les rappeleo si. facilement. ’ ' — Tandfs q’u'el : le fait ses prparatifs, sa seconde sceur la prevlent sen va drolt/t-’cette montagne dont nous avons tant part arrive au soremet sans rencontrer de