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préparatifs, qu’il accéléra le plus possible. Peu de jours après, mon père, madame Daingreville, Dorimond et notre ami Durand nous conduisirent au temple, où tous nos vœux furent comblés. Depuis deux ans que nous sommes réunis, notre félicité n’a point été troublée. Dorothée est mère d’un joli petit garçon, qui fait la joie de son grand père : moi j’ai une fille que je nourris. Madame Daingreville prétend qu’elle annonce déjà des dispositions à devenir grenadier comme sa mère. Mon frère dit quelquefois que, sans Blançai et lui, nous serions encore à réfléchir sur ce que nous aurions à faire. Si vous voulez, mon amie, voir l’asyle du bonheur, venez passer quelque tems à J…

FIN.