APPENDICE 433 BENJAMIN FILLON. La devise d'Estienne de La Boétie et lejuristefon- tenaisien Pierre Fouscliier. - Fontenay-le-Comte, 1872, in-80 de x6 pp. Vies des poètes bordelais et périgourdins par GUILLAUME COLLETET, de l'Académie française, publiées, d’après le manuscrit autographe du Louvre, avec notes et appendices, par PHILIPPE Tamzxzv DE LARROQUE. — Paris et Bordeaux, 1873, in-80 de 104 pp. _ La vie de La Boëtie s’y trouve (pp. 51-69), à côté de celle de Lancelot de Carle, et l’une et l’autre sont publiées avec de fort intéressants commentaires. , Un mot sur La Boëtie, sa famille et la: prononciation de son nom pendant mon court séjour dans sa ville natale, par M. 1’abbé AUDIERNE. - Sarlat, avril 1875, in-80 de 27 pp. Cour d’appel d’Agen. — Un Magistrat au XVI' siècle, Estienne de La Boétie. Discours prononcé à l’audience solennelle de rentrée, le 3 novembre 1876, par M. FRANCISQUE HAHASQUE, avocat général. - _ Agen, 1876, in-8° de 54 pp. La Statue de LaBoétle à Sarlat. Les vrais titres de célébrité cl'Esticnne de La Boétie : sa vie, ses œuvres, son génie. Mémoire dédié au Conseil municipalpar A. LASSERRE, avocat. ——— Sarlat, 1876, in-8° de III pp. FOURGEAUD-LAGRÈZE. Le Périgord littéraire .· La Boétie, la Servitude volontaire (1548); La Campie, la juliadc ou fules démasqué (1649). — In-8° sans date (1876), de 39 pp. Ribérac, impr. Condou. Conférence du I7 février 1877. Étude sur Estienne de La Boétie, par EUGÈNE MAGNE, professeur de rhétorique honoraire, etc. (Se vend au profit de la statue de La Boétie.) — Périgueux, 1877, in-8° de 52 pp. A la fin se trouve reproduite une lettre d’Henri Martin à M. Lasserre (18 décembre 1876) au sujet de la statue de La Boétie. Étienne de La Boétie, d’après de nouveaux clocuments, par E. DE Morczua (Revue de France, t. XXIV, pp. 503-528, 1“' août 1877). Essai sur les idées politiques de Montaigne et La Boétie, par FRANCOIS COMBES, professeur d'histoire il la Faculté des lettres de Bordeaux. -· Bordeaux, 1882, in-40 de 57 pp. Enfin, La Boëtie a été le héros d’un roman : Nahouma, ou le château mystérieux, par Mlle E. FAUGÈRE (Paris, 1857, in—1z). Il yjoue un rôle, qui, pour n’en rien dire de plus, s’é1oigne fort de la réalité historique. ' A SS
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