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362 NoTEs P. 2;;, v. 247 : Limine lasvo porte l’éditi0n originale; nous avons adopté la correction de M. Feugère. P. 2;;, v. 273 : Montaigne cite ce vers, dans les Essais, accouplé à un vers d’Ovide (I. l, eh. 40). _ P. 2;4, v. 296: Montaigne cite également les vers suivants (Essais, 1.1], · ch. 12), avec quelques légères variantes : Pnmgib . In rule vix sumvnanzialalum plagula cazus, Quando valcrc mbxl qucmguam move!. oc juval umtm, Quad me mm lorgne! Ialus, au! pes: rœiera quixguam Vix gucal aut sarium mc, aut xmlirc ·1·aIcr:Iem. P. 2;5 : In tumulum Martialis Belotii, patris (XXI). — Je ·n'ai'tr0uvé nulle part des renseignements sur Martial de Belot, qui était le père de Jean de Belot, dont nous avons déjà rencontré plusieurs fois le nom. P. 236à In tumulum Francisci Ovisii (XXII). —- Les récits de la mort du duc de Guise sont nombreux. Nous rappellerons seulement ici que Lan- celot de Carle, qui assista le duc à ses-derniers moments, a laissé une ample relation de ses propos et de sa fin. Consultez sur les diverses éditions de l‘0pusc1.1le`de Lancelot de Carle une note publiée par M. Tamizey de . Larroque, dans les Vies des poètes bordelais et périgourdins de Guillaume Colletet, p. 25. Cet opuscule fut traduit en latin par jean Le Vieil, qui composa lui aussi des vers latins sous ce titre: De cœde Francisci Lotareni, Guisii ducis magni, lugubre carmen (Paris, Claude Fremy, 156;, in-8° de 4 fi). M. Baguenault de Puchesse a résumé et discuté les documents originaux sur cette mort, dans une étude faite sur les lieux memes de l’assassinat de Poltrot de Méré (Le Contemporain, février et mars 1867). P. 2;6, v. ; : Dans une pièce aujourd’hui perdue et qui devait différer sensiblement de la XVl° du présent recueil, dans laquelle La Boétié se montre moins favorable au duc de Guise. 4 ` P. 236: In malum librum Clinici de febribus (XXIII). — Il est impos- sible de dire, à l'aide de ces seules indications, de quel livre et de quel médecin il est ici question. P. 2;6, v. ;: Lucifuga. M. Feugère a corrigé heureusement en lisant lucgfugax. P. 237 : fo. Aurati dc Androgyho ez seiiatu scmeslfi (XXIV).- On trouvera la biographie de Dorat, ebnsciencicüse et détaillée, en tête de l`édition de ses poésiesfrançaises donnée par M. Ch. Marty-Laveaux, dans la Pléiadefrançaise (1875, in-8°). Consultez également la thèse latine de M. Paul Robiquet (De fourmis Aurati, poetœ regii, vita et latinè scriptis jzoematibus. Paris, 1 887, in-8°île 140 pp.). Cette pièce-ci n‘a pas été recueillie dans les Poematia de Dorat (Paris, 1576, in-8°), réunis fort à la hâte, comme on le_ sait, très_fautifs 'et très incomplets. On y trouve seulement deux pièces de vers composées sur un androgyne, né à Paris en juillet 1570 (p. 27 et suivantes). Elles avaient précédemment été publiées à Lyon, avec une planche, et traduites en français par de Chevigny. On trouve également quelques distiques de Dorat, de Andrôgyno infante, publiés dans les Deliciœ poetarum gallàruni, x" partie, p. 269. P. 237, v. 2 : La fable de l’Andr0gyne est racontée dans le Banquet de Platon, qui la met dans la bouche d’Aristophahe (Banquet, ch. x1v et xv).