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           De célibataire,
      Par qui je suis heureux la nuit !…

Hélas ! ce n’est que trop vrai ! Le célibataire est si malheureux qu’il a besoin de l’illusion des rêves pour se consoler !…

L’autre au contraire, c’est-à-dire l’homme marié, celui sur lequel on s’apitoie si volontiers et qui semble porter à lui seul toutes les iniquités de la création, suivez-le un instant du regard.

Sans cesse une épouse tendre et dévouée lui prodigue les consolations et les caresses. Il n’y a pas de petits soins, de petites prévenances qui ne lui soient ingénieusement ménagés. Aujourd’hui.