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devoirs à ma tante, et je fus voir un de nos amis ; j’avais besoin de son conseil relativement à mon infidelle, il me promit de me servir et sur un plan concerté entre nous, nous établîmes nos batteries ; mais il ne faut pas oublier le rendez-vous que m’a donné la voluptueuse Constance. Je fis ma toilette dans le dernier goût pour me rendre chez elle, et j’y arrivai quelques minutes après l’heure marquée, madame m’en fit quelques reproches, je m’excusai sur le temps, sur les visites, et sur ma montre qui m’avait trompé. Je lui proposai d’aller du côté de Choisy, elle en décida autrement. Où as tu vu ces deux jeunes gens dont tu me fis le récit hier soir. — A Neuilly, ma bonne amie. — Eh bien ! je veux aller de ce côté et nous partîmes.

Madame fit arrêter sa voiture et ses gens sur le bord de l’eau ; nous nous pro-