à peine ai-je l’aisance de respirer, tant
elle me pressait contre elle… Enfin, je
sens l’éjaculation salutaire ; je savourai
cette semence féminine si nécessaire à nos
plaisirs ; ma bouche, et jusqu’à ma cravatte,
en fut imprégnée ; je la goûtai
avec délice, et la trouvai délicieuse ; elle
porte une odeur suave, une substance
onctueuse tant soit peu fade, mais bonne
et agréable au goût… De mon côté,
Constance qui me provoquait au plaisir,
reçut dans sa main le fruit ardent de mes
désirs dont elle différa l’entière jouissance.
Nous nous relevâmes pour nous remettre un instant ; nous prîmes chacun un verre de marasquin ; je détachai ma cravatte et ma belle m’en fit cadeau d’une autre beaucoup plus précieuse. Je la remerciai de tant de gratitude, et cent baisers lui en valurent le prix. Constance