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réconciliation.

— N’aie pas peur, quelqu’un s’occupe de ton amant.

— Halte-là ! je ne veux pas qu’on me le souffle.

— Moi non plus. Il n’y a qu’une seule femme de ma famille en état de le faire, et celle-là, je la garde.

— Heureux pacha !

Il ne s’arrêtait pas de baiser sa main ; La Férina consentit à rentrer dans la maison par une petite porte, afin qu’il pût au moins adresser quelques dévotions à ses sexualités. Il espérait, dès qu’il aurait la bouche sur son cul ou sur son con, la grimper rapidement, et enfin jouir de cette femme, qu’il désirait depuis si longtemps. Comptait-elle de son côté qu’il saurait profiter de l’occasion ?

Ils traversèrent la cuisine, et apercevant dans un cabinet un canapé-lit, elle s’arrêta devant, et jeta un regard expressif à Jacques. Presto, il la retroussa par derrière, et voyant qu’elle tendait les fesses, il sortit la queue afin de la posséder en levrette. Elle ouvrit les cuisses, elle acceptait de se livrer. Il bandait dur. Les parties sexuelles de la jolie horizontale exerçaient leur attirance ; le cul, blanc et