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dans ses moyens. La queue de Bertrand, qui s’allongeait devant elle hors de la culotte, exerçait son magnétisme voulu. Elle se présentait très vaillante, très tenace, en belle érection, très fine de peau, ce qu’elle savait, l’ayant effleurée plusieurs fois de la main dans les soubresauts de la lutte. Elle voulut même la pincer pour décourager son audacieux persécuteur, mais cela lui avait semblé monstrueux. Bertrand la tenait maintenant par la taille, son corsage ouvert, le visage sur ses nichons, qu’il baisait et suçait, dans les contorsions auxquelles elle se livrait. Et, dans ces contorsions, sa main rencontrait à tout instant la queue, la touchait, la palpait, finissait par la garder. L’échauffement de la volupté la gagnait. Bertrand la sentait moins opiniâtre dans son refus ; les jupons avec la robe s’étalaient sur le sol ; elle demeurait en chemise, avec son corsage débraillé ; il lui pelotait le cul à pleines mains, et lui chatouillait le minet ; elle tenta encore de glisser hors de ses bras, mais la queue la battait dans les cuisses, s’intercalait par moments très habilement, heurtant le con ; elle frappait sur le ventre, baisotait le nombril, la fustigeait. Lina se troublait, perdait la tête, ses sens s’éveillaient ; il deve-