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sait n’était pas si dénué d’habitants qu’elle ne pût y trouver au moins un ministre à qui elle pourrait confier son secret.

Laissons-la traverser l’Angleterre silencieusement couchée au fond du chariot, avec des compagnons qui semblaient ne pas s’occuper d’elle, si ce n’est la sœur de Deborah qui de temps en temps lui jetait à la dérobée quelques regards de pitié. Ses amis et ses ennemis nous retiènent encore à Londres, où plus d’un événement doit influer sur son sort.