Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 4 - 1808.pdf/227

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 223 )

que cette fille ; digne d’une meilleure destinée, l’intéressait vivement ; qu’elle avait dans toute sa personne un charme indéfinissable dont il avait été profondément touché ; que par amour de la paix, par reconnaissance de l’attachement de Milady pour Amélia, il ne voulait point blâmer ouvertement sa haine pour une infortunée sans appui ; mais qu’il espérait obtenir l’agrément du Protecteur, et la placer secrètement dans la maison où avait été élevée son Amélia, et où elle serait d’une grande utilité à la maîtresse de pension. Le