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par une porte, près de l’étable, on traversait une petite ruelle qui conduisait à une vaste houblonnière, dans laquelle il y avait encore des fruits, des légumes et des fleurs ; une autre porte donnait dans les champs, le long de la rivière, et les montagnes qui environnaient cette habitation, de concert avec son exposition au midi, la défendaient de tous les vents funestes à la végétation, et offraient aussi dans leurs con-

    l’amitié, on a pu y passer peut-être les instants les plus heureux de la vie. C’est ce qui m’est arrivé.