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faisait respecter au-dehors ; il était prêt à punir les Hollandais des secours qu’ils avaient donnés au parti de Charles Ier et de son fils ; le Régent de France envoyait une ambassade auprès de lui ; pendant sa vie, milady Falcombridge pouvait se croire en droit d’abuser de son pouvoir ; mais sa santé chancelante, usée par les travaux, les fatigues et les inquiétudes que lui avait coûtés sa grandeur, pouvait faire craindre à sa fille le moment où il faudrait rendre compte à tout autre qu’à un père. Elle résolut donc d’envoyer son agent en France s’informer du