Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 3 - 1808.pdf/237

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 233 )

été pour l’amour et la reconnaissance !

En apprenant à Crumwell l’état de Caroline, milady Falcombridge avait cru renverser ses projets, mais elle n’avait fait que changer leur nature. Le Protecteur n’oublia point les charmes de cette fille qui, tombée à ses yeux dans une situation misérable, devait être pour lui une conquête plus facile ; il chargea un de ses confidents de la voir ; elle était toujours sous la main de la loi, comme complice de la fuite de Charles Stuart ; la mort présente à ses yeux, et le