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si elle ne s’était pas offerte au coup mortel pour vous réclamer ; mais cette conduite et votre attachement pour elle, sont des preuves sans réplique que toutes deux vous vous connaissiez parfaitement. — Je vous jure, Madame, que je n’eus jamais l’idée d’appartenir à Deborah. — Quoi, M. Melvil ne vous avait pas dit !… — Eh ! Madame, si j’avais connu ma mère, mon devoir ne m’aurait-il pas conduite auprès d’elle aussitôt après la mort de M. Melvil ! — Vous y avez été aussi. — Le hasard seul nous a réunies chez M. Law… — Et