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affaire aussi obscure que celle de la malheureuse fille dont je plains le triste sort, je ne puis lui être d’aucune utilité. Je ne sais quelle confiance méritent de ma part des promesses solennelles, et je prévois que vous ne reverrez point l’infortunée Caroline ; cependant, si vous la retrouviez, je vous demande pour elle asile et protection, et je me crois en état de vous dédommager de vos bontés pour elle. En ce moment, je vous prie de rendre à Déborah les derniers devoirs que prescrivent la religion et l’humanité, en vous remettant au