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qu’a l’égard de l’assassinat commis sur cette même femme, qu’on appelait en effet Déborah, il n’avait encore acquis aucune lumière, si ce n’est qu’à la faveur du désordre universel, le criminel avait sans doute arraché des bras de sa mère ce jeune homme qui ne se retrouvait point, et qu’il semblait l’avoir frappée pour l’empêcher de parler. Il ajouta que cependant ce n’étaient là que des conjectures, car le jeune étranger pouvait avoir péri dans la maison embrasée, ou avoir fui le village et le danger ; que le lieutenant de sir Henry avait envoyé à la