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sont menacés ; qu’il faut épargner un nouveau malheur à sa mère, et que tu veux les réunir jusqu’à ce que des événements plus heureux les ramènent en Angleterre triomphants et fortunés ! Quels événements espères-tu, dis-moi ? Explique-moi par quel hasard ma fille se trouve liée avec une femme perdue sans doute, avec la maîtresse de Charles Stuart ! Comment elle sépare ses intérêts de ceux de son père, de sa patrie et de sa religion ! — Mon père et vous, Milord, daignez m’entendre. Non, je ne sépare point des intérêts si chers, et