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là, car je n’ai vu ni garçon ni fille. — Le garçon s’appèle Charles. — Qu’il s’appèle comme il veut, je ne m’en soucie guère. — Tu ne veux pas nous livrer ces jeunes gens. — Comment vous livrerai-je ce que je n’ai pas ? — Eh bien ! nous sommes sûrs que Charles est chez toi, qu’il y a couché. — Vous. — Oui, nous, et nous allons te le prouver. — Ils se lèvent ; et l’un parcourant la grange, et l’autre la cabane, tous deux se réunirent pour déplacer le foin et la paille, menaçant le paysan de l’entraîner avec leurs prisonniers. Ils y étaient