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bientôt que le goût était dénaturé, qu’une espèce de délire s’emparait de tous les esprits, et que la lecture des romans anglais devenant une espèce de fureur, l’imagination des Français allait s’égarer et se perdre dans les souterrains et les tombeaux. Peut-être ce qu’on a long-temps regardé, parmi nous, comme les meilleurs romans, avait le défaut d’être monotone, et de conserver une tournure recherchée,