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nière prière, le supplia de recommander mistriss Belmour et Charles aux soins de lady Amélia, et surtout de justifier sa démarche aux yeux de son amie. Sir Henry lui jura que ses vœux seraient accomplis ; il lui baisa la main, l’aida à monter à cheval : adieu, Mistriss, adieu Charles, Amélia, Henry ; adieu, tout ce que je dois aimer et respecter, s’écria-t-elle ! et suivant son guide, elle disparut aux yeux du jeune homme qui reprit tristement le chemin du château, non sans inquiétude sur la destinée d’une femme que lady Amélia semblait