Page:Keralio - Amélia et Caroline, ou L’amour et l’amitié - Tome 1 - 1808.pdf/16

Cette page a été validée par deux contributeurs.
( xvj )

cre. La plus grande, sans doute, est de saisir le degré d’émotion où le cœur aime à s’arrêter ; de ne porter la pitié ou la terreur que jusqu’à ce point unique, où l’âme se sent touchée ou froissée sans qu’elle se révolte, ou repousse l’objet qu’on lui présente. Malheureusement il est des passions violentes, il est des vices dont l’excès conduit au crime. Les hommes qui sont dominés par les unes, et souillés par