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amitié envers George Sand fit de la blonde comtesse un bon écrivain (« sans Lélia il n’y aurait pas eu de Nélida », répétait souvent Liszt, voulant dire par là que si la comtesse d’Agoult s’était faite écrivain, ce n’était nullement par goût et par vocation, mais uniquement par amour-propre et jalousie), cette amitié n’eût aucune action sur le talent de George Sand. Il en fut autrement de Liszt. Comme nous aurons encore à parler plus tard de l’influence mutuelle qu’ils exercèrent l’un sur l’autre, revenons au récit chronologique des événements qui se sont passés en 1835.