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soit mort, et tous le reconnaissaient affirmativement pour le diak Grégoire (411). Pas un doute sur ce point n’a retenti dans la postérité jusqu’à nos jours.

C’en est assez. Nous arrivons à la description de nouvelles calamités, non moins extraordinaires, non moins flétrissantes pour l’honneur de la Russie ; mais aujourd’hui déjà semblables à un rêve sinistre, n’excitant plus que la curiosité d’un peuple à qui le Ciel avait réservé d’atteindre la grandeur par une humiliation momentanée ; et cette grandeur, il l’a atteinte, en effaçant le souvenir de sa faiblesse, par des efforts généreux, et celui de sa honte, par une gloire peu commune.


FIN DU ONZIÈME VOLUME.