Page:Karamsin - Histoire de l'empire de Russie, Tome IX, 1825.djvu/635

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

ders nachgelassene tochter Frewl. Euphemiam Konnigk Magnussen…… Ehelichen zu vermehlen. Plus bas il est parlé des fiançailles. Als aber der Muscowitter sich mit Konnigk Magnussen Ungelegenheit und anderer furfallender Sachen halben, der Zeit dess ehlichen Beylagers nicht entlichen vergleichen konnen, ist die Zeit biss auf Gelegenheit zu beiderseits aufgeschoben worden. Quant à la dot, voici ce que le duc lui-même en écrit à l’empereur : So wurden vor erst über funff Tonnen goldes Ehesteur und endlich alles, was wir begeren, schleunigst erfolgen. (Voyez aussi Kelch, 293.) Magnus était auprès du tzar aux mois de mai et juin 1570.

(81) Voyez Kelch, 295—299, et Hadebusch, année 1570 et 1571.

(82) C’est ainsi qu’en parle Kelch. — On lit dans les Annales de Novgorod, manusc. qui se trouve chez M. de Malinovsky : Le 14 mars, les Tatars amenèrent de la Suède une grande quantité de captifs, et se dirigèrent sur le chemin de Doubetz.

(83) Dans le même temps les Russes et la cavalerie allemande de Magnus tentèrent, mais sans succès, un assaut contre Vittenstein. Dans sa lettre à l’empereur, Magnus dit qu’il n’avait pu mettre à la raison les troupes russes qui se révoltaient, et fut obligé de les renvoyer : Wie wir aber das unmenschliche Toben des reussischen Kriegsvolgs nicht haben coerciren kœnnen (voyez plus haut no. 78).

(84) Cette paix fut conclue le 13 décembre 1570 (voyez Dalin). Magnus écrit à ce sujet à l’Empereur : Dadurch der Grossfürst vast zu ungnaden bewogen es darfür hielte, es würde die Cron zu Dennemarken neben uns sich mit seinen feinden verbinden.