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prononcer le plus sûrement ses sentences touchant le droit qui appartient à chacun.
DB L'ACQUISITION DE LÀ GARANTIE FOURMIS PAS U HE5TATI0N
ra nuatirr *. (Gaalio juratorla. )
On ne peut donner aucune autre raison qui oblige juridiquement les hommes à croire et à reconnaître qu'il y a un Dieu, sinon que c'est pour eux un moyen de prêter serment, et que la crainte d'une puissance suprême qui voit tout et dont ils s'attireraient la colère par un parjure solennel, peut les forcer à être véridi-ques dans leurs assertions et fidèles dans leur» promesses. La preuve que Ton ne compte pas alors sur la moralité des parties, mais uniquement sur leur aveugle superstition, c'est que Ton ne se promet aucune garantie dans les choses de droit d'une simple déclaration iotennelte faite devant le tribunal, quoique le devoir de la véracité, dans les cas oh il s'agit de ce qu'il y a de plus sacré parmi les hommes (du droit des hommes), se montre si clairement aux yeux de chacun. Aussi se crée-t-on des garanties imaginaires. Ainsi, par exemple, les Réjangs, peuple païen de Sumatra jurent d'après le témoignage de Marsden, sur les os de leurs parents morts, quoiqu'ils ne croient pas qu il y ai» un·
? Von Encerbung der Sicbirheit dureh EidesabUgung.