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des fables que j’ai traduites. Ce savant orientaliste les a accueillies avec un intérêt extrême, et il avait l’intention de les incorporer (einverleiben) dans sa prochaine publication. J’aime à penser que le présent volume, qui précédera peut-être la seconde partie de son grand ouvrage, lui fournira l’occasion de faire des rapprochements littéraires d’une haute valeur, et probablement de remonter, par de profondes recherches, à l’origine même de la plupart des morceaux que j’ai traduits, lesquels, à l’exception de trois ou quatre, ne se trouvent point dans les recueils de contes et d’apologues indiens imprimés jusqu’à ce jour en diverses langues.

Malgré les prédictions flatteuses d’indianistes éminents et de littérateurs d’une grande