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XLVIII

LE VIEILLARD PAUVRE ET LA HACHE PRÉCIEUSE.

(De ceux qui méconnaissent le véritable emploi des choses[1].)


Il y avait jadis un vieillard pauvre et sans famille, qui n’avait aucun moyen d’existence. Étant allé un jour au marché,

  1. Par exemple : celui qui lancerait une escarboucle pour tuer un moineau, qui se servirait d’un grand char pour transporter une souris, ou qui ferait cuire un poulet dans une chaudière assez grande pour contenir un bœuf. (Extrait du même ouvrage.)