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XLI

LES OISEAUX ET L’OISELEUR.

(Du danger des dissentiments.)


Jadis, un oiseleur avait tendu ses filets dans un marais et y avait mis, pour appât, des aliments du goût des oiseaux. Une multitude d’oiseaux accourut à l’envi pour les manger. L’oiseleur tira les cordes de son filet et tous les oiseaux y tombèrent. Dans le nombre, il y en avait un qui était