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l’île mystérieuse.


« Ce que j’ai été, Pencroff ! » (Page 452.)

seulement la coque du brick, ainsi qu’il a été dit, avait énormément souffert du choc quelconque qui avait déterminé la catastrophe, mais l’aménagement était dévasté, surtout vers l’avant. Cloisons et épontilles étaient brisées comme si quelque formidable obus eût éclaté à l’intérieur du brick. Les colons purent aller facilement de l’avant à l’arrière, après avoir déplacé les caisses qui étaient extraites au fur et à mesure. Ce n’étaient point de lourds ballots, dont le déplacement eût été difficile, mais de simples colis, dont l’arrimage, d’ailleurs, n’était plus reconnaissable.

Les colons parvinrent alors jusqu’à l’arrière du brick, dans cette partie que surmontait autrefois la dunette. C’était là que, suivant l’indication d’Ayrton, il