Ce ne sera pas trop du Temps sans jours ni nombre.
Ni de tout le silence et de toute la nuit
Qui sur l’homme à jamais pèse au sépulcre sombre.
Ce ne sera pas trop, vois-tu, de toute l’ombre.
Pour lui faire oublier ce qui vécut en lui.
(Henri de Régnier, inscriptions lues au soir tombant.)
Guizot disait à la princesse Lucien qui ne lisait jamais : « Il faut que vous ayez toujours une personne vivante devant vous. » Je la trouvais dans le vrai et disais que les livres sont des faux. N.-B. : Oh ! il y a des personnes qui sont de bien mauvais livres.
Encore Guizot à la princesse : « Je n’ai pas de désirs médiocres. Je n’accueille que les hautes espérances. Je sais me passer de ce qui me manque, mais non pas me contenter au-dessous de mon ambition. Et, dans notre relation de vous à moi, mon ambition a été infiniment plus grande que dans tous les autres intérêts où peut se répandre ma vie. »
Aucune ville ne ressemble à Brest, aucun des autres ports. Nulle part on n’a fait des rues si étroites