plénipotentiaires, de moins en moins malheureusement, mais en campagne, ils sont encore une ambassade, ils reçoivent les souverains et en sont reçus. Ils ont ce charme de la vie diplomatique, ce pittoresque des cours et des sphères élevées, les fréquentations internationales.
J’ai pris « Travail » en gare de Rennes ; c’est
Germinal et je le relis volontiers. En somme Zola,
c’est toujours le même livre, la même description,
la même sensation. On ne pense pas moins que cet
homme-là n’a fait. Ce grand actif a même très peu
vécu. En outre, il ignore l’érudition, il n’y a pas eu
chez lui d’échange entre pairs. Et il raisonne comme
un goujat. Quand on a lu autre chose on est crispé
d’une si grosse voix pour des couacs de logique.
Il vous désintéresserait des questions sociales en
en faisant une dispute de table d’hôte ou de café de
village. J’étais plus anarchiste en lisant l’Ennemi des
Lois.
Et toujours ces problèmes de mangeaille. Encore les faisans et les truffes du dîner de Germinal.
J’ai besoin d’oublier que ces choses-là s’envient. Puis, mon Dieu, parlez de justice (et encore je crois plus de justesse au mot pitié) et chambardez au maxi-