« 47. Calculons, par (50), les valeurs …, dont l’avant-dernière seule, comme la valeur correspondante observée (46), sera négative ; et prenons-les en grandeur absolue, pour en former les excédents sur les valeurs absolues observées 0,34, 0,77, …, 0,58, 0,34. Dans les expressions de ces excédents, les coefficients respectifs de seront
et, ceux de
» Or, il n’y a aucune raison pour que nous rendions les écarts ainsi formés plutôt positifs que négatifs. Nous déterminerons donc notre principale inconnue, en annulant leur somme algébrique
Il vient ainsi
(52) |
et les écarts considérés sont alors
(53) |
» 48. Une valeur approchée de s’obtiendra en annulant de même la somme algébrique des trois premiers, relatifs aux petites distances c’est-à-dire à celles où doit dominer, dans l’influence du terme en et, par suite, des termes en D’ailleurs, en se bornant ainsi aux trois premiers écarts (53), on prend justement tous ceux où le coefficient de est affecté du signe + ; et l’on forme la même équation de que si l’on annulait la somme de tous les autres (où les coefficients de sont négatifs), puisque les expressions (53) ont leur somme générale égale à zéro quel que soit On trouve et les écarts (53) deviennent
» Le plus fort est le quatrième, 0,22, qui varie, d’après (53), en sens inverse de Pour le rendre moins sensible, il faut faire croître jusqu’à ce que cet écart décroissant soit atteint en valeur absolue par un autre qu’on reconnaît facilement être le troisième, 0,17, croissant avec d’après (53). La valeur la plus avantageuse de résultera donc de l’égalité des